L'éveil du Kharill

[HRP] Avant de lancer cette histoire, je voudrais rappeler quelques points importants sur le RP, pour mettre tout le monde d'accord :

- Descritpions en italique, dans la couleur de police standard.

- Paroles et pensées en écriture droite, de préférence en couleur (toujours la même pour chaque joueur). Attention à ne pas choisir les couleurs réservées aux admin (jaune), ou aux modos (bleu).

- il est autorisé de faire parler et agir d'autres personnages (joueurs ou non joueurs), si besoin est. Mais c'est à éviter au maximum.

- La couleur de parole des PNJ (les personnages qui ne sont joués par aucun joueur) est le blanc.

- NOUS NE SOMMES PAS DES ANIMAUX. Nous nous identifions aux loups, mais nous n'en sommes pas réellement.

- Pas de super-pouvoirs ou de super rayon de la mort qui tue tout ce qui bouge sans difficultés. On peut être spécial, mais pas invincible (comme Silver Ironstorm, qui a de légers pouvoirs psy, par exemple. Ca aide, mais ça ne le rends pas capable de terrasser une armée par la seule force de son esprit.)

- Ne vous vexez pas si votre texte change, après que vous l'ayez écrit. C'est juste moi qui serai repassé pour corriger les fautes d'orthographe et de français. JE ne changerai pas le sens, c'est promis.


Je crois que c'est tout. Bon amusement.
[/HRP]

Dès son arrivée à la tanière pour rendre visite à ses frères, Maître Alendir vit que quelque chose clochait. Le serviteur qui l’avait accueilli à dès l’atterrissage de son vaisseau l’avait amené dans un grand hall, sans même lui proposer quelque chose à boire. Il était troublé au point de ne pas lui servir de bière, ce qui était inquiétant. Très inquiétant même, il commençait à avoir envie de boire. Tentant d’endiguer sa soif, Alendir finit par rappeler le majordome et lui demander où se trouvait le seigneur Ysaaltar.

-Ben oui où se trouve Ysa quoi ?

-Monseigneur, notre chef est parti il y a quelques heures à la mine 13, au mont Viraath.

-Hum, il voulait prendre l’air ?

-Non, il y a eu apparemment un accident mortel… Il s'y est aussitôt rendu.

-Hum, ça est fâcheux…

Alendir ressortit, protégé pas une combinaison chauffante qu’il utilisait dès qu’il marchait hors des lieux chauffés de la planète. Le froid était mortel. Cependant, la combinaison était transparente et assez fine, et ne le gênait pas dans ses mouvements. Prenant la direction de son vaisseau, il s’arrêta pour donner des ordres à la Conscience Artificielle de son vaisseau.

-Dionysos ?

-Oui ?

-Je t’en prie, appelle-moi juste empereur, seigneur ou maître…

-Voui… Maître Alendir ? répondit l’ordinateur de bord, exaspéré.

-Envoie-moi le Dayo, notre nouveau type de véhicule, avec autant d’hommes que tu le peux à l’intérieur. Qu’ils viennent me chercher devant l’entrée de la forteresse. Ensuite, calcule la meilleure trajectoire pour nous rendre à la mine 13 du mont Viraath.

-A vos ordres, maître.

-Et dis-leur d’emmener des thermostats avec de la bière, ainsi que du matériel de soin, de réparation et un droïde médical.

-Des problèmes ?

-On ne peut rien te cacher…

-Le Dayo arrivera dans quelques minutes.

-Bien ! Fin de la transmission !


Prenant au passage Alendir dans leur véhicule, une vingtaine de ses soldats firent route le plus rapidement possible vers le Mont Viraath…

[HRP] Il y en a d'autres qui veulent faire du RP?
faut au moins qu'on soit trois... [/HRP]

[HRP] Compter pas trop sur moi sur ce coup, sinon ca va encore degenerer. Je crois pas que vous voulez des divagations sombres, violentes et meurtrieres dans ce joli RP.

Vive la discrimination [/HRP]

[HRP] bah essaie toujours! de toutes façons si personne ne se pointe... [/HRP]

[HRP] bon bin vas-y ysaaltar! ou je continue si tu veux... [/HRP]

A bord de son glisseur personnel (qu'il ne laissait à personne d'autre que lui même le soin de piloter), Ysaaltar arriva à la mine 13 en moins de cinq minutes.

Ce qu'il vit lui fit dresser les cheveux sur la tête : Les pompiers spéciaux n'étaient pas encore arrivés, et la moitié du complexe minier disparaissait dans les flammes rugissantes. Partout, des hommes et des femmes couraient en tout sens, certains avec un but précis, d'autre ne cherchant qu'à fuir le lieu du désastre.

Il rangea son glisseur à quelque distance du complexe, hors de portée des flammes, et termina le chemin à pied. Arrêtant l'un des hommes qui ne semblaient pas touchés par la panique, il lui demanda :

- Y'a-t-il encore des survivants coincés dans les galeries ?

Dans la lumière dansante jetée par les flammes, l'homme ne reconnut pas son seigneur.

- Sûrement... Les équipes de secours se rassemblent là-bas, dit-il en montrant un groupe de gens équipés, se préparant à descendre dans un des puits d'aération encore épargnés par les flammes.

Puis le mineur repartit dans la direction des flammes, emportant une petite caisse sous son bras...

Ysaaltar courut rejoindre les équipes de secours. Dans la frénésie générale, personne ne le reconnaissait, et cela semblait tout à fait lui convenir. Alors qu'il s'équipait, il aperçut un véhicule étrange qui descendait le col en direction du complexe. Il lui fallut quelques secondes pour reconnaître le transporteur terrestre rapide de l'armée de son Frère Alendir.

Il rejoignit alors la dernière équipe à descendre, laissant à son ami le temps d'arriver...

[HRP] Message compris pour le HRP! [HRP]




Alendir vit très vite l’ampleur du désastre, qui avait dû coûter de nombreuses vies et détruire de grandes quantités de matériel. L’incendie ne paraissait pas près de s’éteindre. La gorge sèche, Alendir ordonna à ses hommes de s’arrêter près des puits d’aération. Il en laissa certains rester à la surface pour soigner les blessés et essayer de maîtriser les flammes, mais une quinzaine d’hommes, suivis d’un droïde médical performant l’accompagnèrent près des puits d’aérations. Ils étaient déjà équipés des légères combinaisons permettant de résister à des températures extrêmes, de provisions et d’un peu de matériel, qu’ils complétèrent rapidement avec ce qui se trouvait à disposition des sauveteurs. Ils rejoignirent ensuite la file des sauveteurs qui descendaient dans les profondeurs obscures de la mine…

Alendir aperçut Ysaaltar en queue de file, qui paraissait l’attendre. Il le rejoignit, le saluant d’un signe de tête.

-Merci d’être venu rapidement ,dit Ysaaltar.

-J’ai cru comprendre qu’on avait besoin de toute l’aide que l’on pourrait trouver.

-Tu es plus que bienvenu ! Mais des renforts vont arriver pour faire cesser cet incendie et bien s’occuper des blessés. Malheureusement, déjà trois hommes ont été tués.

-J’espère que ceux qui sont dans les galeries sont à peu près sains et saufs ,répondit Alendir.

-J’aime ton côté positif, ironisa Ysaaltar tandis qu’il commençait à pénétrer dans le puit. Et encore heureux que tu sois à jeun !

-Humpf, cette situation a de quoi dégriser n’importe quel ivrogne ! Espérons qu’il n’y aura pas d’autres morts, acheva Alendir tandis qu’il suivait Ysaaltar tout en faisant semblant de l’étrangler.

Sa phrase à double sens risquait fort de devenir réalité… Et leur courage allait être bientôt éprouvé.

La chaleur et la fumée étaient suffoquantes à l’intérieur des tunnels, mais les combinaisons que les sauveteurs portaient les protégeaient de ce désagrément. La tension était presque palpable depuis qu'ils étaient descendus. Pour le moment et pour sans doute encore longtemps, les combinaisons retenaient la chaleur et les filtres à air intégrés permettaient une respiration correcte, mais que se passait-il plus bas ? Les hommes prisonniers des tunnels avaient-ils pu être épargné par l’incendie, ou par les éboulements dont l’explosion était la cause ? Alendir pensa qu’il aimait le torride, mais que là c’était trop. Quant à Ysaaltar, les tunnels sombres et la chaleur lui faisait penser aux enfers. Il lança une blague pour détendre l’atmosphère :

La nuit dernière, j’ai fait un rêve affreux, dit-il à Alendir. J’ai rêvé que j’étais de l’autre côté des portes de l’enfer, c’était un endroit effrayant, avec du feu partout et des gens torturés. J’avais très peur, aussi ai-je dit à l’un des démons qui était de garde : « est-ce qu’on peut sortir d’ici ? ». il m’a répondu qu’il n’existait qu’un seul moyen, mais que personne n’y étais jamais arrivé. Il m’a guidé dans des oubliettes ; à travers une grille, j’ai vu la femme la plus répugnante qui soit. Elle était édentée, lépreuse et sa peau était purulente. Ce devait être la femme la plus vieille de tous les temps ; elle avait des vers qui grouillaient dans ce qui lui restait de cheveux. Alors le garde m’a dit : « Si tu peux lui faire l’amour toute la nuit, tu pourras partir ». Et tu sais quoi ? J’ai failli tenter ma chance. Mais en avançant, j’ai vu une deuxième grille. J’ai jeté un coup d’oeil et devine ce que j’ai vu ? Toi ! Tu faisais l’amour à la plus belle femme que j’ai jamais vu. Je me suis retourné vers le garde et je lui ai demandé : « Pourquoi est-ce que je devrais coucher avec une vieille bique alors qu’Alendir a droit à une beauté ? » « Ben », m’a-t-il répondu, « il est normal que les femmes aussi aient une chance ».

Tous ceux qui avaient entendu la plaisanterie éclatèrent de rire, Alendir en premier.

Alendir écouta la proposition de son Frère de Sang avec intérêt, une main reposant tranquillement sur le manche de son sabre. Sa combinaison translucide laissait transparaître sa barbe brune de taille moyenne qu’habituellement il caressait. Le jeune seigneur portait une tunique grisâtre et un pantalon de la même couleur. Outre son sabre qui pendait à son côté gauche, il se trouvait à son autre flanc une arme à laser léger, capable tout de même de tirer à répétition, même si cela la réchauffait. Le sabre était quant à lui une arme plus insolite, et très puissante en combat rapproché. Non seulement sa lame extrêmement tranchante était faite d’un alliage résistant tant à la température et aux chocs qu’aux tirs de lasers, mais en plus le pommeau était doté d’un mécanisme permettant de rendre momentanément radioactif le deutérium présent à la pointe de la lame. Cependant cela demandait une grande quantité d’énergie (des piles raducel était présente dans le manche de l’arme), et la radioactivité de l’extrémité du sabre pouvait atteindre le détenteur de l’arme et les personnes à proximité si le dispositif était utilisé trop longtemps.

-Oui, répondit Alendir à Ysaaltar, je suppose qu’il est inutile d’emmener trop d’hommes du côté de l’explosion. Ils y seront sans doute inutiles, et il ne faut pas leur faire prendre de trop grands risques. Et puis, je suppose que tu veux savoir tout comme moi ce qui a causé l’accident. Qui sait ce que cette planète cache comme roche dans ses entrailles ? Il aurait été plus prudent d’envoyer une petite sonde en éclaireur, mais le temps presse s’il y a des blessés dans ces tunnels. Alors allons-y sans plus attendre, mais prudemment. A vouloir avoir tout tout de suite, on finit par rien avoir pour toujours…

L’équipe de secours et les soldats d’Alendir prirent donc la direction des anciens tunnels, tandis que les deux seigneurs prenaient la direction de la zone d’explosion.

[HRP] Je sais que ce topic est vieux, mais peut-être y a-t-il des intéressés pour continuer ? Sephiroth, peut-être ? AComme Alendil nous a quitté depuis un moment déjà, je m'arrangerai pour le "tuer". Mais si d'autres voulaient se joindre à moi, ça remettrait un peu d'ambiance... [HRP]

[HRP]Si tu me le propose c'est que mon RP ne doit pas etre si mauvais que ca ^^ et j'accepte avec joie en esperant ne decevoir personne par ma prestation qui est loin d'egaler celle d'Ysaaltar ^^[/HRP]

En s'engageant plus profondement dans la zone d'explosion, ils finirent par tomber sur un blessé. Trop occupé a soigner ce dernier, Ysaaltar en oublia la presence d'Alendir qui profita de cette aubaine pour sortir doucement son épée pour qu'Ysaaltar ne l'entende pas. Il la leva tres haut au dessus de sa tête, pret à pourfendre Ysaaltar quand son coeur se fit transpercer par une lame aussi glaciale que le coeur de celui a qui elle appartient. Ysaaltar se retourna brusquement, et comme il connaissait parfaitement ses sujets, il n'eu aucun mal a reconnaitre qui avait osé transpercé ainsi, sans scrupules, le coeur de son malheureux ami


- Sephiroth, qu'est ce qui te prends, aurai tu perdu l'esprit, demanda t'il a ce dernier

- Ma lame avait besoin de sang, lui repondit Sephiroth en enfoncant sa lame plus profondement encore dans le corps de sa nouvelle victime qu'il aimait voir souffrir

- Sais tu quel chatiment est reservé aux traitres ?

- Je l'ignore seigneur Ysaaltar, repondit Sephiroth alors que sur son visage se dessinait un rictus face au cris de douleur d'Alendir.[/i] Mais pour moi, les traitres ne meritent que de voir masamune prendre leurs ames

- Tu veux dire que...

Qu'Alendir est un traitre, c'est lui qui a provoqué l'explosion, il voulait profiter que vous soyez trop occupé avec les blessés pour en finir avec vous et ainsi mettre en deroute la Meute

- Est tu sur de ce que tu avances, Sephiroth

- Pensez vous reelement que j'oserai m'en prendre a un des miens si tel n'etait pas le cas. Ma vie est attachée a la Meute et moi a elle, je n'ai fait ca que dans notre interet


Sephiroth, enleva ensuite masamune du corps d'Alendir, qui gisait inerte, au bout de sa lame depuis quelques minutes deja, l'essuya du sang qui s'y trouvait encore et il la reanga dans son fourreau. Puis il mit genou a terre devant Ysaaltar

Pardonnez moi seigneur, si mes manieres vous semble quelque peu expeditive et je suis navré d'avoir eu a vous apprendre cette triste nouvelle

Ce fut alors qu'un autre Alendir s'approcha de ses deux amis, Ysaaltar et Sephiroth, en courant. Ceux-ci levèrent leurs armes, prêts à se défendre. Ils s'aperçurent alors que cet Alendir, identique au précédant, ne possédait cependant pas d'armes. Les mains en l'air, paumes ouvertes, il ne paraissait pas décidé à assassiner qui que ce soit. Voyant que ses amis le regardaient fixement avec méfiance, son regard se fixa sur la fissure aux pieds de Séphiroth, et il aperçut son sabre sur le sol. Son trouble ne fit qu'augmenter. Les armes prêtes à le tuer brandies par ses frères de sang ne l'aidaient pas à réfléchir… Il parla :

-Eh bien, mes amis, vous avez apparemment retrouvé mon cher sabre. Néanmoins, il manque le voleur! Ne sachant pas ce qu'il s'était passé peu avant et puisqu’ils se tenaient prêt à le tuer, il décida de raconter ce qu'il lui était arrivé. Voyez-vous, je me suis réveillé dans l'astroport principal de ma planète Bacchus, dans un dépôt à ordures, dépouillé de mon sabre, et avec une petite fléchette plantée dans le cou. Je l'ai arrachée, et elle s'est désagrégée aussitôt, tombant en poussière. Mais il n'y a aucun doute, elle contenait une puissante drogue, puisque j'ai dormi plus d’une journée entière. Le vaisseau qui devait m’emmener ici était parti sans moi, ce qui était théoriquement impossible. Car Dionysos, le système qui commande le vaisseau, n’obéit qu’à moi seul. Et pourtant, l’équipage et le vaisseau étaient parti, abusés par quelqu’un ayant parvenu à déjouer les systèmes de sécurité. C’est d’ailleurs très impressionnant. Montant à bord, d’un petit croiseur heureusement plus rapide, je rejoignais notre planète mère le plus rapidement possible. Arrivé, je me rendai dans mon véritable vaisseau, toujours conduit par Dionysos. Or, celui-ci affirma que j’étais parti il y a peu pour la mine. Me demandant si son système informatique n’avait pas des circuits grillés, je demandais aux quelques hommes restés à bord si Dionysos disait vrai. Et ils approuvèrent. Ils me dirent aussi que quand mon « autre moi » était monté à bord, il n’était pas vêtu comme je le suis d’habitude, mais qu’il me ressemblait trait pour trait, et que mon sabre pendant à son flanc. Pendant le voyage, il a d’ailleurs changé de tenue, sans doute pour me ressembler entièrement. Ainsi je supposais que quelqu’un avait réussi à prendre mon apparence corporelle, puis vestimentaire. Et quels que soient les objectifs de cette personne, tout ceci était inquiétant. Partant pour la mine 13 à bord d’un petit véhicule monoplace. J’interrogeais les hommes pour retrouver la personne qui avait abusé tout le monde. Finalement, je suis parvenu à vous retrouver. Et apparemment, vous avez réglé le sort de l’imposteur. Le plus inquiétant est que celui-ci, non content de vous avoir abusé par son allure, vous a sûrement abusé en imitant mon humour désastreux, car sinon tous ceux que j’ai rencontré m’auraient dire qu’ils s’en étaient méfiés ou que mon double était étrange. Bref, je suis Alendir, et Alendir, c’est moi ! Même si je n’ai aucun moyen de vous le prouvez…

Sephiroth et Ysaaltar se regardèrent, ne sachant quoi penser.

-Ecoutez-moi ! Puisque je ne puis prouver que je suis moi-même, gardez mon sabre. Je vous accompagnerai, mais désarmé. Je suppose que mon double vous a faussé compagnie puisqu’il n’y a pas de corps. Si bien que, dès que l’on le retrouvera, vous aurez la preuve que je suis bien moi. Par contre, de là à dire que c’est une bonne nouvelle…

Alendir les fixa dans les yeux, se grattant nerveusement la barbe et attendant une réponse.






[HRP] Vous m’avez un peu vite éliminé de l’histoire, dites-moi ! Ne savez-vous donc rien de l’entêtement des nains ? Bon sans blagues je serai toujours là pou un peu de RP. [/HRP]

[HRP] Désolé pour cette elimination hative de ton perso Alendir mais comme l'a dit Ysaaltar ca faisait longtemps que tu n'etait pas venu donc il fallait bien faire "disparaitre" ton perso mais je suis content que tu sois la pour faire un peu de RP [/HRP]


Sephiroth et Ysaaltar se consulterent longuement et finalement, ils accepeterent la proposition d'Alendir en esperant que celui ci soit reelement celui qu'il pretend etre. Ils se remirent en route tout en restant sur leurs gardes en compagnie d'Alendir

[HRP] Oui c'est vrai que je ne venais pas souvent, et puis je ne joue plus à ogame. Enfin comme ça on est trois pour faire un peu de RP Mais est-ce qu'Ysaaltar sait où cette histoire va nous mener ou est-ce qu'il n'y a pas de fin prévue? [/HRP]

[HRP]je sais pas si il a une fin de prevu faut lui demander qd il passera dans le coin ^^[/HRP]

[HRP] J'avais une bonne idée de ce qui allait se passer, mais comme tous les rôlistes que je connais, vous avez réussi à me casser :D:D.

C'est pas grave, je vais imaginer autre chose. Laissez-moi juste un peu de temps... [/HRP]

[HRP] Arf désolé (comment ça j'ai pas l'air désolé?) [/HRP]

[HRP] Au fait Ysaaltar, tu as inventé ton pseudo ou il vient de quelque part? [/HRP]

[HRP] Il sort de ma tête et celle de Norad. C'est le nom d'un perso de jeu de rôle. Le fils de mon perso, accessoirement. [/HRP]

Ysaaltar restait méfiant, malgré qu'il pensait savoir ce qui s'était passé : Il avait déjà rencontré de bien étranges créatures, intelligentes ou pas dans cet univers, mais celle qui avait "pris la place" d'Alendir était de loin la plus bizarre, et la plus fascinante...

La voix d'une de ses instructrice résonna dans sa tête :

"Ne fais JAMAIS entièrement confiance à une supposition, même bien étayée. Sans quoi, l'une d'elle te tuera !".

Il patienta donc, attendant d'avoir une certitude sur celui qui semblait être son Frère, Alendir.

Plus loin, la galerie qu'ils suivaient était effondrée, leur barrant le passage. Heureusement, les embranchements ne manquaient pas. Les Loups retournèrent sur leurs pas pendant une centaine de mètres, et prirent une bifurcation, continuant à explorer les tunnels.

Plusieurs fois, le scénario se répéta, au point qu'ils auraient pu croire qu'ils tournaient en rond autour de l'épicentre de l'explosion. Le seul indice indiquant qu'ils approchaient en réalité de leur but était la chaleur qui augmentait, devenant presque infernale. Elle sapait lentement leurs forces et retardait leur marche. Ils évitaient même de parler, pour ne pas déssecher leur gorge inutilement.

Soudain, au détour d'un passage, ils se retrouvèrent une nouvelle fois devant un mur de gravats. Mais, fait particulier, le granit semblait en partie fondu, puis refroidi, liant ainsi toutes les caillasses en un énorme bloc. Suant sang et eau à cause de la température digne d'une fournaise, Ysaaltar s'approcha, mit son doigt en bouche, et le passa rapidementsur la roche. Le grésillement qui s'en suivit indiqua que la roche était brûlante.

Il se tourna vers ses compagnons :
- Nous devons être tout proches du puit de mine... Probablement même juste à côté, dit-il en indiquant le mur de roches agglomérées. Il devrait faire plus frais de l'autre côté...

Ils examinèrent attentivement le mur, cherchant un moyen de le traverser ou de le contourner...